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    Dans les Espaces Générations Nature COAL présente une exposition réunissant douze artistes engagés pour le vivant. Tous ont été nommés pour le Prix COAL, qui récompense chaque année des artistes engagés pour l’écologie, qui témoignent, imaginent, expérimentent et oeuvrent pour un monde plus respectueux du vivant et de l’équilibre écologique.

    DANS LES ENTRAILLES DU VIVANT

    Le vivant est fait d’une multitude de liens qui le trament, insoupçonnés et invisibles, depuis les souterrains de la Terre jusqu’aux limbes de l’atmosphère. Loin de n’être qu’une somme fixe d’espèces et d’écosystèmes, il forme un réseau tentaculaire et fourmillant sans cesse en évolution, en mouvement et en dialogue. Nous faisons partie de ce grand tissu vivant, qui nous entoure en même temps qu’il nous constitue, inextricablement liés à lui, à la respiration des plantes, à l’activité des microbes, aux mutations des virus…

    UNE APPROCHE CULTURELLE DE LA NATURE

    La crise écologique que nous connaissons actuellement nous rappelle ce lien intime, étiolé par des siècles de constructions mentales séparant les humains et le reste des vivants qu’on appelle « nature ». Si cette crise écologique est celle d’une nature en péril, malmenée par nos activités, celle d’une biodiversité qui s’effondre et d’un climat qui se dérègle ; elle est surtout la crise d’une culture, celle de notre relation au vivant.

    Dès lors, qui mieux que les artistes pour retisser cette sensibilité au vivant, repenser nos rapports aux milieux, être attentifs aux autres formes de vie, renouveler nos images et nos imaginaires collectifs, inventer de nouveaux paradigmes et d’autres manières d’être au monde… pour révéler à la fois la fragilité de ce dernier et son extrême richesse ?

    DOUZE ARTISTES POUR LE VIVANT

    Les douze artistes présents dans cette exposition ont été nommés pour le Prix COAL. Mobilisés aux côtés des acteurs de la protection de la nature et en collaboration étroite avec d’autres disciplines, ils font germer des initiatives individuelles et collectives et offrent de nouvelles pistes, exploratoires et sensibles, pour affronter cette crise du vivant. Ils nous invitent, enfin, à inventer de nouvelles manières d’être en lien avec le vivant, et ainsi mieux le défendre.

     

    En lien avec une équipe pluridisciplinaire, Maria Lucia Cruz Correia cherche à lier pratique artistique et écologie de la réparation. Elle met ainsi en place des protocoles d’action collective qui contribuent à la régénération de paysages perdus. Ils peuvent prendre la forme d’un « Contrat pour un cours d’eau », visant à activer les potentiels d’attention aux cours d’eau.

    Convaincue de la puissance des images et de leur capacité à transformer les imaginaires collectifs, Minerva Cuevas intervient dans l’espace public avec ironie et humour, à travers la diffusion d’affiches. Pour le Congrès, elle crée un photomontage, où se superposent des éléments du monde animal et mécanique, sur une couverture du National Geographic. Omniprésente dans notre vie quotidienne, emblème de liberté et de prestige social, mais aussi symbole d’aliénation, de consumérisme et de pollution, la voiture occulte le poisson exotique. La figure d’un zèbre cabré fait allusion à la rébellion et à la résilience du vivant.

    Anthony Duchêne présente un ensemble de dessins et de sculpture issues de sa collaboration avec des paysans-vignerons. Ensemble ils développent des installations in situ qui favorisent le développement de la biodiversité, faisant des sols, du paysage végétal et du monde minéral, le terreau fertile de ses œuvres et réciproquement.

    Paul Duncombe dévoile un relief d’origine extra-terrestre : le cratère d’impact de Manicouagan, au Canada, surnommé l’Œil du Québec, formé par chute d’une météorite il y a 214 millions d’années. Il dresse un portrait artistique de ce territoire foisonnant, de la reconquête du site par les végétaux, les insectes et autres espèces vivantes, jusqu’aux premières cultures autochtones.

    Avec Photosynthèse, Lia Giraud donne à voir les milliers de déchets repêchés dans le port de Marseille, point d’entrée vers la Méditerranée, entre 2016 et 2020, lors des opérations Vieux-Port Propre. L’oeuvre « Inventaire photographique de l’invisible » révèle tous ces objets abandonnés et délaissés, submergés dans l’eau. Elle évoque l’angoisse d’une pollution marine que l’on ne voit pas, et interroge le rapport que nous entretenons avec notre milieu.

    Le végétal comme source d’approvisionnement artistique, est le cœur du projet de Louis Guillaume qui vise à reconnecter la pratique artistique avec le cycle des saisons en développant des savoir-faire autour de matériaux naturels, propres à chaque période de l’année. L’œuvre inédite et monumentale qui est présentée est ainsi réalisée à partir de graines de Stipa tenuissima de la famille des graminées.

    A travers un court-métrage qui met en scène une tourterelle turque secourue par les artistes, le duo Hypercomf questionne les limites du confort et de l’inconfort, décrit les interactions entre éléments organiques et inorganiques, et examine les rôles parallèles du chasseur et du chassé dans notre nouvelle réalité domestiquée. Les séances de confort cérébral offertes par internet et la technologie se superposent aux images de notre vulnérabilité.

    Tels les premiers herboristes et botanistes, qui recueillaient des plantes à des fins d’étude médicinale, le personnage de Lucy + Jorge Orta a soigneusement rassemblé une collection colorée et diversifiée d’espèces florales et les a disposées sur une bâche en lin. Cette figure de Gardien de la Nature, qui sauve cette biodiversité menacée dans une civière de la Croix-Rouge, convoque la Terre  et son organe vitale, la forêt amazonienne, comme un corps blessé à traiter et soigner.

    Spela Petric presente une installation mi-végétale mi-numérique qui met en scène  de nouvelles interactions ludiques entre les plantes, l’apprentissage automatique et l’intelligence artificielle à l’heure où l’abstraction informatique et la gouvernance algorithmiques sont devenues notre réalité.

    Victor Remère a pour projet d’installer des ruches d’abeilles sauvages connectées sur les terrains militaires de la presqu’île de Saint-Mandrier. Conçues comme des objets artistiques, scientifiques et artisanaux, ces ruches numériques permettraient d’expérimenter la cohabitation entre ruches de production et ruchers sauvages, d’observer les interactions et éventuels bénéfices d’un tel voisinage, et de mieux comprendre le comportement des abeilles et les menaces qui pèsent sur elles.

    Éléonore Saintagnan s’attache à rejouer un événement historique méconnu de l’histoire de la Chine sous Mao, qui condense à lui seul les enjeux de la disparition des moineaux, dont la population a chuté de 95% en trente ans. Elle initie des actions collectives et encourage la mobilisation de jeunes et d’artistes en lien avec des associations et des scientifiques, favorisant la réintroduction de l’espèce en ville, et rappelant les liens d’interdépendance entre les hommes et les moineaux. Une série de photos retracent ces actions.

    Exposition VIVANT
    Espaces Générations Nature – Parc Chanot, Marseille
    Du 3 au 11 septembre 2021
    Visite inaugurale le 4 septembre à 16h

    © Špela Petrič, Institute for Inconspicuous Languages: Reading Lips, 2018
    Éléonore Saintagnan, Les Moineaux de Trégain, 2020. Prise de vue : Benoît Mauras. © Éléonore Saintagnan

     

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